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#2 Pour des quartiers plus verts et une santé renforcée

La nature est essentielle à notre bien-être. Notre priorité est d’améliorer la qualité de vie de chaque habitant·e en garantissant un environnement sain et en renforçant les espaces verts qui jouent un rôle crucial dans notre santé physique et mentale. Grâce à la richesse de notre patrimoine naturel, avec des « poumons verts » comme la forêt de Soignes et nos nombreux parcs, nous bénéficions déjà d’un cadre de vie privilégié. Cependant, il est crucial de continuer à protéger ces espaces tout en développant de nouvelles initiatives pour rendre chaque quartier plus vert, plus propre, plus calme, et plus respirable. Ces actions contribueront également à soutenir le redéveloppement de la biodiversité locale.

Pour atteindre ces objectifs, nous mettrons en œuvre une politique active de plantation, particulièrement dans les quartiers denses tels que la Chasse Royale et Lebon. Nous nous engageons également à protéger la nature existante en adaptant nos règlements locaux et en soutenant les citoyen·ne·s qui souhaitent verduriser l’avant de leur habitation ou leur toiture. Nous sommes également conscients que les populations précarisées sont souvent les plus touchées par les inégalités environnementales, la commune doit donc veiller à garantir à chacun·e le droit à un environnement sain, quel que soit son lieu de résidence.

La protection de notre environnement ne se limite toutefois pas à la végétation. Eviter l’usage des pesticides est une priorité essentielle pour préserver la biodiversité et la santé humaine. En adoptant des pratiques de jardinage naturel, nous pouvons protéger les insectes pollinisateurs, qui sont vitaux pour nos écosystèmes, tout en réduisant la pollution chimique. Cet engagement s’inscrit dans une approche plus large de protection de l’environnement, qui comprend également la lutte contre les nuisances sonores et la pollution de l’air. Ces pollutions, bien qu’invisibles, ont des effets tangibles sur la santé de nos habitant·e·s, et leur réduction est une condition indispensable pour assurer un cadre de vie sain et agréable.

Enfin, l’éclairage public, bien qu’indispensable pour assurer notre sécurité, doit être utilisé de manière raisonnée. Un excès de lumière artificielle nuit non seulement à la faune locale, mais perturbe également notre santé. De plus, le développement du nombre de panneaux publicitaires lumineux, en plus de leur coût écologique élevé, représente une source de distraction dangereuse pour les usager·ères de la route, augmentant ainsi le risque d’accidents. En réduisant les nuisances chimiques, sonores et lumineuses, nous pouvons garantir un cadre de vie plus serein et plus sain pour tous.

La crise de la COVID a également souligné l’importance de la santé publique et le rôle crucial que peut jouer la commune pour promouvoir le bien-être de ses citoyen·ne·s. La santé ne se limite pas à l’absence de maladie, elle est intrinsèquement liée à la qualité de notre cadre de vie : que ce soit dans nos maisons, dans nos quartiers, ou sur nos lieux de travail.

Ecolo-Groen s’engage à œuvrer pour le bien-être de tous en améliorant encore la qualité des services dans les domaines essentiels comme l’enseignement, la culture, l’action sociale, le sport, et l’accès à une alimentation saine. En agissant ainsi, nous faisons de la santé une priorité transversale qui concerne chaque aspect de la vie communale.

Pour terminer, la société est de plus en plus sensible aux droits des animaux. Ecolo-Groen s’inscrit pleinement dans cette dynamique du respect et de la protection animale. Les animaux, qu’ils soient domestiques ou sauvages, sont des êtres sensibles qui méritent d’être traités avec dignité. Nous prônons donc des relations respectueuses avec tous les êtres vivants, car nous sommes conscients de l’importance du bien-être qu’ils apportent à notre communauté.

Avec ces engagements, Ecolo-Groen dote Auderghem d’une vision claire et ambitieuse : faire de notre commune un lieu où la nature, la santé, et le bien-être animal sont au cœur de nos préoccupations. Ensemble, nous pouvons bâtir une commune plus verte, plus saine, et plus harmonieuse pour toutes et tous.

1. Donner plus de place à la nature dans notre commune

  • La révision du Plan Régional d’Affection du Sol (PRAS) nous offrira l’opportunité de protéger les espaces verts (naturels et semi-naturels) non encore sécurisés. Nous voulons identifier ces zones et les protéger progressivement par le biais de modifications des plans particuliers d’affectation des sols (PPAS) ou en proposant des classements au sens patrimonial ou sous Natura 2000.
  • Nous réaliserons une étude écologique de notre territoire pour cartographier la biodiversité et établir un plan d’action pour l’améliorer et la protéger des impacts du changement climatiques et de la pression immobilière. Tous les dix ans, cet état des lieux sera réactualisé afin d’ajuster nos efforts en faveur de la nature.
  • Nous veillerons avec la plus grande vigilance à la protection de la Forêt de Soignes, en portant une attention particulière à ses lisières. Ces zones sensibles sont régulièrement menacées par des projets de destruction ou de perturbation, qu’il s’agisse de nuisances sonores, lumineuses, ou de projets récréatifs et événementiels. Nous nous engageons à préserver ces espaces naturels en assurant qu’ils restent des havres de tranquillité et de biodiversité.
  • Nous accorderons une attention particulière à la préservation des espaces semi naturels encore présents sur notre territoire, même lorsqu’ils ne bénéficient pas d’une protection légale. Nous nous engageons à émettre un avis défavorable pour toute demande de permis impliquant la destruction, même partielle, de ces espaces précieux. De plus, nous prendrons toutes les mesures nécessaires, y compris l’introduction de recours et d’actions en cessation environnementale, pour contester les permis délivrés par la Région qui menaceraient ces zones.
  • Nous serons particulièrement attentifs au respect de ces critères pour les grands projets immobiliers à venir.
  • Nous collaborerons avec les associations environnementales locales pour réhabiliter et entretenir nos espaces verts et semi-naturels.
  • Nous mettrons en place des initiatives telles que « Rendez-vous au Jardin » pour mettre en avant nos espaces verts publics et privés et nous nouerons également des partenariats avec les acteurs locaux (comme les Quartiers Durables ou les zones de potagers collectifs), pour organiser des activités communautaires comme des balades et des pique-niques.

2. Préserver et renforcer la biodiversité

  • La communication joue un rôle crucial dans la sensibilisation à l’importance de la biodiversité. C’est pourquoi nous informerons régulièrement les habitant·e·s à travers le périodique L’Auderghemois sur la richesse de la faune et de la flore présentes dans notre commune.
  • Nous intégrerons la dimension environnementale pour chaque nouveau projet d’urbanisme. Pour cela, nous créerons un guide des bonnes pratiques environnementales basé sur l’étude du réseau écologique de notre commune. Ce guide permettra d’assurer que chaque projet respecte et renforce la biodiversité locale, tout en minimisant son impact environnemental.
  • Chaque année, de nouveaux îlots de fraîcheur seront créés, en particulier dans les zones les plus vulnérables. Ces zones d’ombrage seront agrémentées à certains endroits par des équipements collectifs (jeux pour enfants, bancs, etc.).
  • Nous initierons des ateliers tels que les « fresques du climat et de la biodiversité » pour sensibiliser le conseil communal et les habitant·e·s aux enjeux environnementaux. Ces ateliers seront suivis de formations plus orientées sur la pratique destinées à accompagner les citoyen·ne·s dans l’adoption de gestes plus durables au quotidien.
  • Nous aurons comme principe général de favoriser et prioritiser les actions qui contribuent positivement aux 3 piliers du développement durable :
    • Pilier 1 – environnement : réduction des émissions de gaz à effet de serre, résilience et adaptation au changement climatique…
    • Pilier 2 – social : accessibilité à l’énergie décarbonée, réduction des coûts énergétiques et de mobilité, confort des logements…)
    • Pilier 3 – économique (création d’activités et d’emplois).

3. Protéger les arbres et favoriser la végétalisation

  • Nous poursuivrons nos efforts pour végétaliser nos écoles en participant à des projets régionaux tels que « Ose le vert » et « Ré-création », afin de créer des espaces récréatifs végétalisés qui profiteront à toute la communauté durant et en dehors des heures scolaires.
  • Nous renforcerons la protection des arbres, tant dans les espaces publics que privés, en imposant des conditions strictes pour tout abattage. Cela inclura des justifications précises, des expertises phytosanitaires, et des obligations de replantation à l’identique en cas d’abattage illégal. Nous veillerons aussi à rappeler systématiquement les dispositions de l’Ordonnance Nature (exemple : vérification de la présence de nids ou de terriers), en particulier lors des projets immobiliers impliquant l’abattage d’arbres, et nous en contrôlerons rigoureusement l’application.
  • Nous élargirons encore la période d’interdiction d’abattage en raison du dérèglement climatique, en commençant dès le 15 mars et en maintenant l’actuel allongement jusqu’à la fin septembre, afin de mieux protéger les nidifications précoces et tardives.
  • Nous planterons 10% d’arbres supplémentaires dans l’espace public d’ici 2030, avec pour objectif un arbre tous les 50 mètres. Dans le cadre du verdissement des quartiers, nous renforcerons l’expertise communale afin de sélectionner systématiquement des plantes indigènes et adaptées au dérèglement climatique.
  • Nous renforcerons les campagnes de sensibilisation du type « En mai, tonte à l’arrêt » pour encourager les habitant·e·s à participer à la préservation de la biodiversité en réduisant la tonte. Nous utiliserons le concours « Fleurir Auderghem » pour promouvoir les plantes locales, mellifères, et vivaces.
  • Nous limiterons les tontes dans les espaces publics en privilégiant les fauchages tardifs et les tontes diversifiées. Cela permettra de gagner en biodiversité, de réduire le bruit, de réorienter les efforts vers des plantations fruitières et l’entretien des arbres, et d’investir grâce aux économies réalisées dans des équipements plus respectueux de l’environnement.
  • En partenariat avec les communes voisines, nous développerons un maillage vert et bleu pour végétaliser la ville, lutter contre les îlots de chaleur et les inondations, tout en créant des corridors écologiques pour la faune et la flore.
  • Nous lancerons l’aménagement de nouveaux espaces verts pour atteindre progressivement l’objectif « 3-30-300 » qui prévoit que chaque habitant·e devrait pouvoir voir au moins trois grands arbres depuis son domicile, bénéficier d’une couverture arborée de 30% dans son quartier, et se trouver à moins de 300 mètres d’un espace vert. Dans certains de ces espaces, nous créerons des vergers pédagogiques et des haies fruitières, offrant ainsi des lieux de convivialité tout en renforçant la biodiversité.
  • Nous intensifierons la sensibilisation des citoyen·ne·s à l’importance des insectes butineurs pour notre environnement, tout en poursuivant et renforçant les initiatives en leur faveur, telles que la restauration de milieux propices ou encore l’installation d’hôtels à insectes et de spirales mellifères dans les espaces publics et privés.
  • Nous travaillerons à désimperméabiliser les surfaces bétonnées là où c’est faisable.
  • Nous adopterons le principe d’une gestion intégrée des eaux de pluie pour minimiser l’imperméabilisation des sols. Cela inclura la séparation des eaux propres et sales, l’infiltration de l’eau au plus près de sa source, et la réduction maximale du recours aux égouts. Nous maintiendrons et rétablirons la perméabilité des zones non bâties, comme les trottoirs, parkings et cours d’écoles, afin de favoriser l’infiltration naturelle de l’eau.
  • Nous étudierons également la possibilité de partage de citernes entre constructions proches et développerons un réseau de citernes pour les services communaux, afin de les utiliser pour l’arrosage des plantations, le nettoyage, et d’autres besoins.
  • Enfin, nous veillerons à développer la présence de l’eau dans l’espace public, à la fois sous forme récréative et utilitaire, en créant des fontaines publiques dans les aires de jeux et en restaurant les mares et points d’eau dans les espaces verts communaux.

4. Lutter contre les pollutions sonores et atmosphériques

  • Nous installerons des sonomètres et des appareils de mesure de la qualité de l’air dans l’espace public pour sensibiliser les citoyen·ne·s à ces pollutions invisibles mais nuisibles. Nous veillerons à renforcer la présence de ces appareils aux abords des écoles et collaborerons avec des groupes spécialisés dans ces domaines comme « les chercheurs d’air ».
  • Nous travaillerons à réduire la pollution sonore dans les écoles en créant des espaces de silence et en améliorant l’isolation phonique.
  • Lors des achats de matériel communal, nous inclurons systématiquement des critères de pollution sonore et de l’air, en privilégiant, par exemple, des souffleuses de feuilles à bruit contenu.
  • Nous élaborerons un plan d’action pour réduire l’exposition des populations les plus vulnérables, comme les enfants et les personnes âgées, aux polluants intérieurs. Cela inclura l’achat de produits respectueux de l’environnement et de la santé pour les bâtiments communaux, crèches, écoles, et maisons de repos.
  • Nous adopterons une charte d’achat de matériaux sains pour réduire l’exposition aux polluants intérieurs dans les bâtiments communaux, en privilégiant des produits respectueux de la santé et de l’environnement, tels que les peintures, les isolants, et les produits de nettoyage. De plus, nous mettrons en place une charte ou un règlement strict sur l’épandage de produits phytosanitaires toxiques à proximité des habitations et des lieux communautaires, comme les terrains de sport, les écoles, et autres espaces sensibles. Ces mesures contribueront à créer un cadre de vie plus sain, en réduisant l’exposition des citoyen·ne·s à une série de substances nocives.
  • Nous continuerons à utiliser le marché de services organisé par Bruxelles Environnement pour la fourniture de matériel de nettoyage et d’hygiène. Dans la mesure du possible, nous augmenterons même nos achats par ce biais, car cette approche nous permet de bénéficier de prix avantageux grâce aux économies d’échelle, tout en accédant à des produits bien plus durables pour l’environnement.
  • Nous ferons de la commune un territoire « auto-off », en instaurant une signalisation appropriée pour encourager les automobilistes à couper leur moteur lorsqu’ils n’en ont pas besoin. Cette mesure contribuera à préserver la santé des habitant·e·s, particulièrement des enfants, tout en réduisant la pollution et les dépenses énergétiques.

5. Réduire la pollution visuelle et maîtriser l’éclairage public

  • Nous instaurerons des zones sans publicité autour des lieux historiques, près des écoles, et dans les zones naturelles, en implémentant et appliquant une réglementation stricte en matière d’urbanisme.
  • Nous envisagerons systématiquement la suppression des publicités dans l’espace public lors des demandes de renouvellement de permis. Par ailleurs, seuls les permis pour l’affichage de publicités respectant des critères éthiques, notamment en matière de lutte contre le dérèglement climatique, la malbouffe, et le sexisme, seront accordés.
    De plus, nous interdirons l’installation de panneaux lumineux et digitaux pour réduire l’impact environnemental.
  • Nous renforcerons la régulation de la publicité toutes-boîtes et plaiderons au niveau régional pour l’adoption d’un système où seules les personnes ayant expressément choisi de recevoir de la publicité apposeront un autocollant sur leur boîte aux lettres.
  • Nous créerons des « trames noires » pour préserver les habitats des animaux nocturnes et continuerons à sensibiliser la population aux impacts d’un éclairage excessif et de la pollution lumineuse grâce à des initiatives comme la « Nuit de l’Obscurité ».

6. Faire d’Auderghem une commune « zéro pesticides »

  • Nous mènerons une campagne de sensibilisation sur les dangers des pesticides pour la santé et l’environnement, visant à informer les habitant·e·s et les commerçant·e·s sur les alternatives écologiques pour l’entretien des jardins, cours, et terrasses.
  • Nous interdirons l’usage des pesticides dans les espaces publics, et nous promouvrons des pratiques de jardinage naturel, en collaboration avec des associations comme Natagora.
  • Nous nous assurerons également que les plantations communales soient approvisionnées de manière durable et avec le moins de traces possibles de pesticides.

7. Faciliter l’accès aux soins de santé et à la prévention pour tou·te·s

  • Nous faciliterons l’accès aux soins de santé en soutenant la création de structures médicales pluridisciplinaires et en encourageant la collaboration entre les prestataires de soins, les services sociaux, et le tissu associatif local afin que la santé puisse être abordée de manière intégrée et globale.
  • Nous soutiendrons les initiatives citoyennes visant à mettre en place des groupes de parole pour les personnes atteintes de maladies chroniques, nous faciliterons le développement de projets de vie et nous mettrons à disposition des locaux communaux.
  • Nous renforcerons l’accessibilité aux soins en santé mentale en organisant des permanences avec des psychologues dans les CPAS, les écoles, et les lieux de rencontre. Ces services, financés par les réseaux de santé mentale, permettront des interventions individuelles ou de groupe, selon les besoins des habitant·e·s.
  • Nous intégrerons la santé de manière transversale dans toutes les politiques communales. Nous veillerons à ce que les administrations concernées, y compris le CPAS, collaborent efficacement pour éviter le travail en silos. L’échevin·e en charge de la santé s’assurera de l’implication des acteurs de terrain, tels que les services de Promotion de la Santé à l’Ecole, les CPMS, et les associations locales, dans toutes les initiatives liées à la santé.
  • Nous intégrerons également la composante santé et bien-vivre dans les politiques de logement, pour assurer une continuité d’options de logements pour les personnes vieillissantes.
    Nous généraliserons aussi l’Éducation à la vie relationnelle, affective, et sexuelle (EVRAS) dans toutes les écoles d’Auderghem.
  • Nous étofferons l’offre sportive pour rendre l’activité physique accessible à toutes et tous, et en particulier aux personnes en situation de handicap.
  • Nous encouragerons et faciliterons la pratique du vélo, de la marche, et de la course à pied dans la vie quotidienne.
  • Nous étendrons les espaces de sport publics tels que des parcours vita, des machines de sport en plein air, et des skateparks. Ces espaces pourront être animés par des groupements, des professeurs de sport ou des animateurs sociaux pour favoriser l’inclusion et la cohésion sociale.
  • Nous proposerons également des alternatives moins carnées dans les cantines communales, en assurant au moins une option végétarienne à chaque repas.

8. Auderghem, commune amie des animaux

  • Nous veillerons à ce que l’échevin·e en charge des espaces verts et de la biodiversité soit également responsable du bien-être animal. Cette responsabilité inclura l’intégration des animaux dans les plans de gestion de crise, ainsi que la diffusion d’autocollants « Animaux ici » pour informer les services de secours de la présence d’animaux dans les foyers.
  • Nous continuerons à sensibiliser les citoyen·ne·s à l’impact des feux d’artifice sur les animaux et privilégierons les feux à bruit contenu pour les activités festives communales.
  • Nous désignerons un·e responsable du bien-être animal (BEA) au sein de la police locale pour assurer un suivi rigoureux des plaintes liées aux animaux. Les agents de police seront formés pour lire les puces des animaux trouvés et pour améliorer le suivi des plaintes concernant le bien-être animal.
  • Nous soutiendrons les projets de médiation animale dans les écoles, en respectant les conditions de bien-être pour les animaux et pour autant que les lieux s’y prêtent, ainsi que les visites dans les refuges.
  • Nous continuerons à fournir des aides pour l’accès aux soins vétérinaires pour les publics vulnérables et organiserons des mécanismes d’entraide pour les personnes hospitalisées.
  • Nous cesserons d’utiliser le terme « animaux nuisibles » pour le remplacer par « espèces liminaires » (pigeons, rats, renards, etc.) et sensibiliserons la population à leur importance écologique. Nous favoriserons des mesures de régulation douces et éviterons l’utilisation de raticides dans les zones vertes et leurs proximités.
  • Nous intensifierons la sensibilisation des citoyen·ne·s au bien-être animal (BEA) en élargissant notre champ d’action à tous les types d’animaux. Cela inclura non seulement les animaux de compagnie, mais aussi les espèces liminaires, les animaux d’élevage, et la faune sauvage. Cette approche globale encouragera une cohabitation respectueuse et consciente entre les habitant·e·s et les différentes espèces animales présentes sur notre territoire.
  • Nous créerons des zones de liberté pour les chiens où ils pourront se déplacer sans laisse, tout en veillant à ce que ces espaces n’impactent pas la biodiversité ni les autres usagers des espaces verts. Ces zones seront aménagées de manière spécifique, avec des parcours d’activités pour chiens, et concerneront à la fois les espaces communaux et régionaux.
  • Enfin, nous augmenterons le nombre de canisites pour permettre aux chiens de faire leurs besoins dans des espaces dédiés, contribuant ainsi à la propreté et à la convivialité des espaces publics.

 

 

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